Bien choisir ses serre-joints
Les caractéristiques principales à prendre en compte des serre-joints sont leur ouverture, représentant leur capacité de serrage en mm, la saillie en mm aussi appelée la profondeur des coulisseaux, et enfin la puissance de serrage en Newton.
Il existe différents types de serre-joints adaptés à différents usages, les plus utilisés sont :
- Les serre-joints par vissage, qui comprennent les serre-joints à pompe, à vis, dormant et en «C ». Idéals pour les menuisiers grâce à un serrage précis.
- Les serre-joints pas frappe, pour les maçons, ils sont conçus pour réaliser des coffrages.
- Les serre-joints à pompe, regroupant les serre-joints « Une main », à ressort ou à cliquet. Ils permettent de visser sans forcer tout en proposant une grande force, une importante robustesse et une grande précision.
Les serre-joints sont de manière générale des outils très résistants et donc très fiables. Un outil de bonne qualité permet une meilleure précision lors des montages.
Ainsi l’idéal est de choisir un ensemble de serre-joints en fonction de ses besoins tel que l’épaisseur du matériau ou de la pièce à travailler, sa longueur et la puissance de serrage nécessaire pour maintenir la pièce.
Les outils alternatifs au serre-joint
Selon vos travaux, vous pouvez être amené à avoir besoin d’autres outils similaires au serre-joint.
Si vous avez besoin d’une grande précision mains de moins de puissance de serrage, les pinces-étau devraient répondre à vos besoins, elles sont adaptées à différents travaux tels que le soudage, le pliage, le formage, le sertissage etc. Elles disposent d’ouvertures plus ou moins importantes et de différentes formes de bec.
Les étaux à mors parallèles, bien que fixes, sont très fiable et sont équipés dans certains cas de serre-tubes. Bien que non mobiles ou peu dans certains cas grâce à une base tournante, ils permettent néanmoins d’exercer une pression sur une plus large étendue.